En ratifiant le protocole de Kyoto, la Belgique s’est engagée à réduire, d’ici 2008-2012, ses émissions de CO2 de 7,5% par rapport à celles de 1990. Un fameux pari autour duquel s’affrontent aussi deux écoles : d’un côté, les tenants du nucléaire, qui ne produit quasi pas de CO2, de l’autre, les partisans des énergies renouvelables, qui misent beaucoup sur les éoliennes pour relever le défi. Qui a raison ou tort dans ce débat qui dépasse le seul cadre du réchauffement climatique ? Le problème est trop complexe pour se résumer de façon si tranchée. Monde Qui Bouge vous livre surtout des clés pour comprendre les positions des différents protagonistes.
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